Carmaux Connexion |
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Author:
| FREDERIC, Morderer |
ISBN: | 978-1-7926-0284-9 |
Publication Date: | Dec 2018 |
Publisher: | Independently Published
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Book Format: | Paperback |
List Price: | USD $70.41 |
Book Description:
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CARMAUX CONNEXION« Oui, je suis raciste et zoophile, et alors ça vous dérange ? Allez-vous me reprocher de baiser vos femmes pour tenter de me réconcilier avec l'espèce humaine, moi qui pensais être « chat » à force de vivre parmi eux ? Quelle fut ma triste surprise de découvrir dans un miroir mon véritable visage d'anthropoïde, contracté par la douleur des hémorroïdes ! Je me suis ni reconnu, ni aimé, je me suis fait peur ! Après la théorie des genres, les socialos et autres affidés...
More DescriptionCARMAUX CONNEXION« Oui, je suis raciste et zoophile, et alors ça vous dérange ? Allez-vous me reprocher de baiser vos femmes pour tenter de me réconcilier avec l'espèce humaine, moi qui pensais être « chat » à force de vivre parmi eux ? Quelle fut ma triste surprise de découvrir dans un miroir mon véritable visage d'anthropoïde, contracté par la douleur des hémorroïdes ! Je me suis ni reconnu, ni aimé, je me suis fait peur ! Après la théorie des genres, les socialos et autres affidés ne vont-ils pas tenir compte de la théorie des espèces ? Pas celle de Dard Win, ou celui qui a le bec plus long nique l'autre ! Eh oui, cette misanthropie familiale en vase clos a fait des dégâts ! Chez nous, seuls les félins obèses et affamés de patapon-ronron avaient la côte, même si elle disparaissait sous le gras ! L'existence est un grand tribunal qui rassemble trois races, les voleurs, les volés se retrouvant comme accusés et ceux qui créent les valeurs, des juges en kippa capacitant des kapos zoïdes en képi ! Quand les stupides se rallient aux cupides, ils resserrent plus fermement nos servitudes... la loi ce sont eux, les oies à déplumer et à éviscérer de force, c'est nous... foi de connard ! Allons-y tous les dissidents, prenons l'Élysée en chantant et en tapant des mains : « Sans dent » clap-clap en avant clap-clap par Saint-Denis clap-clap par Saint-Jean, nous aurons tous l'ascendant ! »Un silence assourdissant envahit la salle, celui que l'on concède aux terroristes surarmés. « Pour les athées, qui s'égarent dans l'humanolâtrie pour dissimuler l'amour coupable de soi, le génocide reste une tragédie ! Pour le vrai voyant, plus qu'un simple croyant où le doute subsiste encore, la mort s'invite dans la bénédiction à renaître d'un corps nouveau ! Frank, le cousin d'Einstein électrocuté par Nicolas Tesla, le racontait si bien :Le temps devient si relatif, tellement, jusqu'à ne plus exister dans l'infinitésimalité de la physique quantique ! »Deux flics gros comme des tankers s'avancèrent pour ceinturer Frédéric. « Carmaux connexion » où « Frédéric » conte l'histoire d'un loser, nullement magnifique, qui se déroule au coeur d'une petite ville dévastée par la crise. Le protagoniste pousse l'anti-carriérisme et le mépris négationniste des conventions sociales, usurpatrices spectrales de nos lucidités, jusqu'à la mort relationnelle et affective. Dans cette configuration existentielle malaisée, évoquer l'idée de « carrière », malgré le trou béant de la découverte, parait inopportun. Depuis ses premiers pas sur terre a-t-il seulement décollé d'un pouce des starting-blocks ? Il rêve, sur un plateau d'argent, d'une tripe conjonction à broutard, uranus-lune-mont-de-vénus, du vice, du lard ; fais-ce qui te plaît, veinard, écrase ton vaisseau de présomptions sur lesdits amas raie puis rage !Pour l'instant, figé comme une statue sans statut, il brûle intérieurement d'un chaos émotionnel et affectif indicible. Quelle rencontre décisive pourrait renverser cette routine d'envies sans vie aussi ponctuelle que la torture des lundis matins sans soleil ?Tombera-t-il après un premier pas libérateur dans les précipices inconnus tant rêvés en gorges profondes où s'extasient les chrysalides écrasées à l'ombre de ruines cauchemardesques ? Carmaux connexion, un mal, des mots, à l'écart maux ! Carmaux, quart monde incarné, Karl Marx et ça ne repart jamais !