La Femme Pauvre Roman |
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Author:
| Bloy, Léon |
ISBN: | 978-1-5204-3913-6 |
Publication Date: | Jan 2017 |
Publisher: | Independently Published
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Book Format: | Paperback |
List Price: | USD $15.00 |
Book Description:
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La Femme pauvre est un excellent roman écrit par éon Bloy paru en 1897...Résumé : Ce roman décrit la vie d'une jeune femme pauvre, illuminée inspirée par sa foi chrétienne. Sa mère, une mégère sordide, et son compagnon, un ivrogne, l'obligent à se prostituer pour subvenir à leurs besoins. Elle se retrouve sous la protection d'un peintre, dans le milieu duquel elle approchera d'autres artistes, écrivains, enlumineur, etc. Après la mort de son bienfaiteur, elle épousera l'enlumineur......
More DescriptionLa Femme pauvre est un excellent roman écrit par éon Bloy paru en 1897...Résumé : Ce roman décrit la vie d'une jeune femme pauvre, illuminée inspirée par sa foi chrétienne. Sa mère, une mégère sordide, et son compagnon, un ivrogne, l'obligent à se prostituer pour subvenir à leurs besoins. Elle se retrouve sous la protection d'un peintre, dans le milieu duquel elle approchera d'autres artistes, écrivains, enlumineur, etc. Après la mort de son bienfaiteur, elle épousera l'enlumineur... Ce texte est un hymne chrétien au bonheur d'être malheureux...Biographie : Léon Bloy, né le 11 juillet 1846 à Notre-Dame-de-Sanilhac (Dordogne) et mort le 3 novembre 1917 à Bourg-la-Reine, est un romancier et essayiste français.Connu pour son roman Le Désespéré, largement inspiré de sa relation avec Anne-Marie Roulé, il est aussi un polémiste célèbre...Né à Notre-Dame-de-Sanilhac1, il est le deuxième des sept garçons de Jean-Baptiste Bloy, fonctionnaire aux Ponts et Chaussées et franc-maçon, et d'Anne-Marie Carreau, une ardente catholique.Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l'établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l'oriente vers l'architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s'essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s'éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l'architecte principal de la Compagnie ferroviaire d'Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s'inscrit à l'École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l'anticléricalisme...En décembre 1868, il fait la connaissance de Jules Barbey d'Aurevilly, qui habite en face de chez lui, rue Rousselet. C'est l'occasion pour lui d'une profonde conversion intellectuelle, qui le ramène à la religion catholique, et le rapproche des courants traditionalistes. C'est Barbey qui le familiarise avec la pensée du philosophe Antoine Blanc de Saint-Bonnet, « une des majestés intellectuelles de ce siècle », dira Bloy plus tard. Par la suite, Ernest Hello eut également une très forte influence sur lui ; il semble même que ce soit lui qui l'ait incité à écrire.En 1870, il est incorporé dans le régiment des « Mobiles de la Dordogne », prend part aux opérations de l'Armée de la Loire et se fait remarquer par sa bravoure. Démobilisé, il rentre à Périgueux en avril 1871. Sa participation à la guerre lui inspirera, en 1893, Sueur de sang.Il retourne à Paris en 1873 où, sur la recommandation de Barbey d'Aurevilly, il entre à L'Univers, le grand quotidien catholique dirigé par Louis Veuillot. Très vite, en raison de son intransigeance religieuse et de sa violence, il se brouille avec Veuillot, et quitte le journal dès juin 1874. Il est alors engagé comme copiste à la direction de l'enregistrement, tout en étant le secrétaire bénévole de Barbey d'Aurevilly...Extrait : C'est pourquoi l'aimable Isidore assumait la considérationd'un nombre incroyable de mastroquets.On ne savait pas exactement ses origines, quoiqu'ils'affirmât d'extraction bourgeoise et périgourdine. Extractionlointaine, sans doute, puisque le drôle était né, disait-il luimême,au faubourg du Temple, où ses parents avaient dû pratiquerde vagues négoces très parisiens sur lesquels il n'insistaitpas.Il se réclamait donc volontiers d'une ascendance provincialedigne de tous les respects et de collatéraux innombrablesrépartis au loin, dont il vantait les richesses, non sans flétriravec énergie l'orgueil de propriétaires qui leur faisait méconnaîtresa blouse glorieuse de citoyen travailleur. Effectivement,on n'en avait jamais vu un seul...