La Femme Pauvre Roman |
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Author:
| Bloy, Léon |
ISBN: | 978-1-5208-7653-5 |
Publication Date: | Mar 2017 |
Publisher: | Independently Published
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Book Format: | Paperback |
List Price: | USD $15.00 |
Book Description:
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Le femme pauvre est un excellent roman de Léon écrit en 1897...De nos jours, Léon Bloy semble être en odeur de sainteté dans l'Eglise Catholique, même au sein du Saint Siège. le pape François n'a pas hésité à citer cet écrivain à la plume de feu et au coeur résolument tourné vers le Christ et la Vierge Marie. Etrange retournement de l'histoire, surtout quand on sait que Léon Bloy avait beau adoré la religion Catholique et ses traditions, il n'en demeurait pas moins très critique envers...
More DescriptionLe femme pauvre est un excellent roman de Léon écrit en 1897...De nos jours, Léon Bloy semble être en odeur de sainteté dans l'Eglise Catholique, même au sein du Saint Siège. le pape François n'a pas hésité à citer cet écrivain à la plume de feu et au coeur résolument tourné vers le Christ et la Vierge Marie. Etrange retournement de l'histoire, surtout quand on sait que Léon Bloy avait beau adoré la religion Catholique et ses traditions, il n'en demeurait pas moins très critique envers son clergé trop superficiel dans sa foi et parfois aussi le pape (Il détestait Pie X). La Femme pauvre est un roman admirable. Divisé en deux grandes parties, on y apprend la triste histoire de Clothilde Maréchal, fille pieuse mais tourmentée, simple mais déchue, courageuse malgré son horrible tartuffe de mère ainsi que son alcoolique de compagnon revendiquant le droit d'être son pèreRésumé : Publié en 1897, La Femme pauvre évoque la misérable vie de Clothilde.Pourtant dans la plus profonde détresse, elle reste toujours animée d'un sentiment religieux, d'une grâce divine, qui lui permet d'affronter ses souffrances.Ce roman se distingue par sa stupéfiante splendeur verbale; sa composition obéit à des lois plus poétiques que romanesques. C'est un livre à l'image même de l'auteur : déroutant, dérangeant, romantique, baroque, excessif, sulfureux, luciférien... Extrait : Début 1882, Anne-Marie commence à donnerdes signes de folie ; elle est finalement internée en juin àl'hôpital de Sainte-Anne. Bloy est atteint au plus profond de luimême: « Je suis entré dans la vie littéraire (...) à la suite d'unecatastrophe indicible qui m'avait précipité d'une existence purementcontemplative », écrira-t-il plus tard. De fait, c'est enfévrier 1884 qu'il publie son premier ouvrage, Le Révélateurdu Globe. L'ouvrage est consacré à Christophe Colomb, et Barbeyd'Aurevilly signe sa préface. Suit en mai un recueil d'articles: Propos d'un entrepreneur de démolitions. Aucun desdeux livres n'a le moindre succès. Parallèlement, Bloy se lieavec Huysmans puis avec Villiers de l'Isle-Adam, se brouilleavec l'équipe de la revue « Le Chat noir », à laquelle il collaboraitdepuis 1882, et entreprend la publication d'un pamphlethebdomadaire, « Le Pal », qui aura cinq numéros. C'est à cetteépoque également qu'il entame la rédaction d'un premier romanlargement autobiographique, Le Désespéré. Le drame vé-cu par les deux principaux protagonistes, Caïn Marchenoir etVéronique Cheminot, est en fait la transposition de celui deBloy avec Anne-Marie, une relation où la sensualité est peu àpeu effacée par le mysticisme...Biographie de l'auteur : Léon Bloy, né le 11 juillet 1846 à Notre-Dame-de-Sanilhac et mort le 3 novembre 1917 à Bourg-la-Reine, est un romancier et essayiste français.Connu pour son roman Le Désespéré, largement inspiré de sa relation avec Anne-Marie Roulé, il est aussi un polémiste célèbre... Né à Notre-Dame-de-Sanilhac1, il est le deuxième des sept garçons de Jean-Baptiste Bloy, fonctionnaire aux Ponts et Chaussées et franc-maçon, et d'Anne-Marie Carreau, une ardente catholique.Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l'établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l'oriente vers l'architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s'essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s'éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l'architecte principal de la Compagnie ferroviaire d'Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s'inscrit à l'École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l'anticléricalisme. En décembre 1868, il fait la connaissance de Jules Barbey d'Aurevilly, qui habite en face de chez lui, rue Rousselet...