Le Liseur D'âme

Le dernier roman de Camille Margaille nous plonge dans les années 80, plus précisément au cours de l'année scolaire 1987-1988, dans une petite bourgade du centre de la France.On y rencontre Lexus et ses amis, tous lycéens ainsi que leurs parents. Entre leurs premiers émois amoureux, des parties de franches rigolades, leurs amitiés mais également leurs rivalités avec la bande des Gremlins, ceux qui se surnomment les Goonies, Mogwaïs par d'autres, sont confrontés à toute une série...
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Le dernier roman de Camille Margaille nous plonge dans les années 80, plus précisément au cours de l'année scolaire 1987-1988, dans une petite bourgade du centre de la France.On y rencontre Lexus et ses amis, tous lycéens ainsi que leurs parents. Entre leurs premiers émois amoureux, des parties de franches rigolades, leurs amitiés mais également leurs rivalités avec la bande des Gremlins, ceux qui se surnomment les Goonies, Mogwaïs par d'autres, sont confrontés à toute une série d'événements étranges. Parallèlement, Lexus lutte contre des crises d'épilepsie et des pensées qui le dépassent. Est-ce que son professeur haut en couleurs, Monsieur Danzig, pourra l'aider dans sa quête de compréhension ? Et qu'en est-il de ces satanés Russes ?Quelques thèmes clés développés dans le roman : amours, amitiés, rivalité, différences, singularité, enquête, psychologie, parapsychologie, guerre froide.Le roman est l'occasion d'une foule de références aux expressions et à la culture des années 80. Musiques, films, séries, événements, tout y passe. De Partenaire particulier à Still Loving You en faisant un arrêt par les cités d'or, Rocky 4 ou retour vers le futur !L'auteur a mêlé à tout cela une foule de noms barbares comme autant de figures de style en pagaille. En vrac, apophonie, zeugme, antanaclase, hypallage, oxymoron, métaphore, métonymie, synecdoque, allitération, assonance, chiasme, hyperbole, euphémisme, litote, tapinose, anaphore et autres joyeusetés sont de la partie. Il y a même une toute petite nouvelle au nom charmant d'amphimixie.Pour ne citer que la jeune et délicieuse Elehenda, tout bon roman ne devrait être qu'« un brasier symphonique des sens ».