Le XXème Siècle

Le XXème siècle aurait pu être un siècle de bonheur au moins dans une grande partie du monde. Or il fut catastrophique ! Ce fut un siècle européen, (ne serait-ce que du fait des deux guerres qu'il a connues et que rien ne justifiait), mais il a également provoqué dans une grande partie de monde, par un effet de contagion, des malheurs dont il reste totalement responsable. Pourquoi tant de douleurs et de souffrances humaines ? C'est quelque chose qu'on ne s'explique pas bien et que, en...
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Le XXème siècle aurait pu être un siècle de bonheur au moins dans une grande partie du monde. Or il fut catastrophique ! Ce fut un siècle européen, (ne serait-ce que du fait des deux guerres qu'il a connues et que rien ne justifiait), mais il a également provoqué dans une grande partie de monde, par un effet de contagion, des malheurs dont il reste totalement responsable. Pourquoi tant de douleurs et de souffrances humaines ? C'est quelque chose qu'on ne s'explique pas bien et que, en outre, rien ne justifie. Car le mal n'a pas de raison d'être. Il s'impose malgré tout, malgré soi, malgré les autres, malgré toutes les précautions que peuvent prendre nos gouvernants ..... En tout cas, ce mal a un nom ou plutôt deux: Hitler et Staline. Il nous a semblé utile d'essayer de comprendre la psychologie de ces deux personnages qui ont marqué le XXème siècle. Mais notre recherche s'est heurtée à un échec, car il n'y a rien à comprendre. Aussi les malheurs de ce siècle maudit ne s'expliquent-ils pas. C'est ainsi ! Pourquoi des chefs qui se croient illuminés s'arrogent-ils le droit de martyriser leurs contemporains? A cela il n'y a pas de réponse. En tout cas, nous renonçons à dire que le mal est inéluctable s'il ne s'explique pas par la psychologie des dictateurs. Envers et contre tout, et malgré les maux que nous avons connus, nous persistons à penser que le mal peut être évité. Lors d'une récente session au Conseil de Sécurité de l'ONU, le Président Emmanuel Macron a donné une lueur d'espoir a tous ceux qui reconnaissent l'existence de problèmes entre les nations, mais qui envers et contre tout, persistent à penser qu'avant d'agir, il vaut mieux discuter, parler, négocier, palabrer, trouver des arrangements..... Peut-être qu'ainsi on désarmera les rivalités entre les peuples, car dans les hostilités entre nations, il n'y a que des perdants. La violence entraîne la violence, une violence redoublée. Nous ne désespérons point de la faculté qu'ont les peuples et leurs dirigeants à rechercher l'entente par-dessus tout ce qui peut les opposer. Par exemple, la Corée du nord a un peut-être un problème. Je ne sais pas lequel; alors justement parlons-en! Le dialogue, c'est simple, mais il fallait y penser. Cela est d'autant plus nécessaire que le champ du possible est immense et ménage toujours des solutions à toute situation conflictuelle ou antagoniste.