Paul et Virginie Roman |
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Author:
| de Saint Pierre Jacques-Henri, Bernardin |
ISBN: | 978-1-5204-3871-9 |
Publication Date: | Jan 2017 |
Publisher: | Independently Published
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Book Format: | Paperback |
List Price: | USD $13.00 |
Book Description:
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Paul et Virginie est un roman de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, publié en 1788. Exemple paradigmatique du roman de la fin du xviiie siècle, il connut un immense succès qui dépassa les frontières.Résumé : Histoire : Paul et Virginie décrit l'histoire de deux enfants vivant sur l'île de France (désormais Île Maurice). Issus de deux familles différentes, Paul et Virginie sont élevés en commun comme frère et soeur, dans la splendeur naturelle des paysages tropicaux. Lors de...
More DescriptionPaul et Virginie est un roman de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, publié en 1788. Exemple paradigmatique du roman de la fin du xviiie siècle, il connut un immense succès qui dépassa les frontières.Résumé : Histoire : Paul et Virginie décrit l'histoire de deux enfants vivant sur l'île de France (désormais Île Maurice). Issus de deux familles différentes, Paul et Virginie sont élevés en commun comme frère et soeur, dans la splendeur naturelle des paysages tropicaux. Lors de l'adolescence, des sentiments amoureux naissent entre les deux personnages. La tante de Madame de la Tour envoie des gardes chercher Virginie pour la ramener en France, sous prétexte qu'elle la fera héritière de sa fortune et de lui donner une meilleure éducation. Plusieurs années après, Virginie fait annoncer son retour sur l'île, mais le navire qui la ramène de France est pris dans une tempête et échoue sur les rochers sous les yeux de Paul. Celui-ci ne tarde pas à succomber à la douleur de la perte de sa bien-aimée...Biographie de l'auteur : Jacques Bernardin Henri de Saint-Pierre, dit abusivement Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, né le 19 janvier 1737 au Havre, de Nicolas Saint-Pierre et Catherine Godebout, et mort le 21 janvier 1814 à Éragny, est un écrivain et botaniste français...Montrant dès l'enfance un esprit à la fois rêveur et aventurier, goûtant les charmes de la nature, désireux de l'inconnu, Bernardin de Saint-Pierre est d'un caractère inquiet, irritable, facilement rebuté par les difficultés et les devoirs. Après avoir appris chez un curé, à Caen, les éléments des langues anciennes, il lit avidement Robinson Crusoé1, alors qu'il n'avait pas 12 ans, que lui a donné sa marraine Bernardine de Bayard qui prétendait avoir comme ancêtre Bayard2, et demande à voyager sur la mer. Un de ses oncles, capitaine de navire, qui va à la Martinique, le prend à son bord ; les fatigues de la navigation et le service des manoeuvres auquel on l'astreint font bientôt tomber ses illusions. Ramené au Havre et dégoûté de la vie maritime, il est mis au collège des Jésuites de Caen. Il s'y exalte à la pensée d'aller au loin convertir les peuples barbares ; son père calme cet enthousiasme en le renvoyant faire sa philosophie au collège de Rouen. Il entre ensuite à l'École nationale des ponts et chaussées, d'où il passe dans le corps de jeunes ingénieurs que le ministre de la guerre a établi à Versailles...Envoyé en cette qualité à l'armée, à Düsseldorf, sa susceptibilité et son insubordination le font destituer. Il retourne au Havre, où son père s'est remarié. Ne pouvant s'accorder avec sa belle-mère, il vient à Paris en 1760, presque sans ressources. L'année suivante, il demande à être envoyé comme ingénieur à l'île de Malte, que menacent les Turcs, et l'obtient, mais, la guerre n'ayant pas lieu, il rentre à Paris avec l'intention d'enseigner les mathématiques...Extrait du roman : Il y a environ deux ans et demi qu'un homme, moitié libraire,moitié homme de loi, vint m'offrir ses services pourLyon. Il allait, me dit-il, dans cette ville qui remplit de sescontrefaçons les départements du midi, et même la capitale. Ilétait revêtu des pouvoirs de plusieurs imprimeurs et librairespour saisir les contrefaçons de leurs ouvrages, et s'était obligéde faire tous les frais de voyage et de saisie, à la charge de leurtenir compte du tiers des amendes et des confiscations. Ilm'offrit de se charger de mes intérêts aux mêmes conditions.Nous en signâmes l'acte mutuellement. Il partit. À peine était-ilarrivé à Lyon que je reçus de cette ville quantité de réclamationsdes libraires qui se plaignaient de ses procédures, attestaientleur innocence, leur qualité de père de famille, etc. De son côtémon fondé de procuration me mandait qu'il faisait de fort bonnesaffaires...